Pour cette deuxième «prise de la Bastille», Jean-Luc Mélenchon a revendiqué 180 000 partisans dimanche après-midi à Paris. (…)
Dans un discours particulièrement offensif emporté par des airs révolutionnaires, Jean-Luc Mélenchon a taclé la politique menée par François Hollande, sans jamais le nommer. Il a appelé notamment à une «insurrection» pour «mettre un terme à ces politiques» d'austérité.
Comme au printemps 2012, date à laquelle il avait créé la surprise par l'ampleur de son meeting en pleine campagne électorale pour la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon veut plus que jamais faire entendre sa voix dans le débat politique.
Le Parisien.fr du 5 mai 2013
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